Paques le 24 mars 2009 ?
Ouf... 25 ° en moyenne,l'eau à 22 23...ça y est, dis Lolo, nous avons fait la "Nav" maintenant on se la joue cool.
regardez le parcours depuis Magellan ... La plus grande traversée est faite, maintenant nous allons pratiquement faire du cabotage.
Mais si tu peux plonger mon Julo...il y a 17 mètres de fond. Mais je croyais que j'allais toucher le fond, s'exclame Jules qui finalement me fait confiance et plonge. Eh oui, ici, l'eau est tellement peu chargée en plancton que la visibilité est exceptionnelle, près de 40 mètres. Corrolaire...la faune est quasi inexistante...la chaine alimentaire est très pauvre. Heureusement il y a quelques langoustes quand même.;o))
Ca nous change de l'ile de Robinson, et encore plus de la Patagonie ou les animaux pullulaient.
On a mouillé dans un tout petit port, il ne faudrait pas qu'il y en ai deux comme nous... on serait bloqués.
L'ile de Pâques, vous connaissez, bien sur !
Allez donc faire un petit tour sur Google Earth avec ces coordonnées : 27° 6.890'S 109° 21.952'W (faire un copier coller dans la fenetre "aller a", en haut à gauche.
L’île de Pâques (en espagnol Isla de Pascua, en langue māori Rapa Nui « la grande lointaine ») est une île isolée dans le sud-est de l’océan Pacifique, particulièrement connue pour ses statues monumentales (les moaïs) et son unique écriture océanienne, le rongorongo.
L’île se trouve à 3 700 km des côtes chiliennes et à 4 000 km de Tahiti, l’île habitée la plus proche étant Pitcairn à plus de 2 000 km à l’ouest. L’île de forme triangulaire, d'environ 23 km dans sa plus grande dimension, couvre 162 km². La population comptait 3 304 habitants en 2002 [1]. Son chef-lieu est Hanga Roa.
Elle fut visitée par le premier Européen, le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques, le 5 avril 1722, et comptait alors près de 4 000 habitants. Elle fut annexée par l’Espagne en 1770 et devint une possession chilienne en 1888.
Depuis 1995, le patrimoine exceptionnel de l’île est protégé et inscrit au Patrimoine mondial de l'Humanité par l'UNESCO. Des parcs ou réserves naturelles, parfois surveillés, enserrent les zones des vestiges. La communauté rapanui veille jalousement sur les traces de son histoire et constitue un pouvoir parallèle au gouvernement officiel chilien.
Propos recueillis et mis en forme par P FABRE le 25 mars 2009